Cannelle ? Agrume ? Intensité de zéro à six ?
Place Massena, à Nice, jeudi 16 juillet, une centaine de passants ont accepté de respirer des bandelettes de papiers odorisées et répondu à un court questionnaire mis au point par l'équipe associant le CHU de Nice et l'école de commerce Edhec. En effet, des chercheurs de l'Université Côte d'Azur (UCA) se sont livrés à cette expérience de science participative pour calibrer un futur test précoce, rapide et peu onéreux du Covid-19 par le symptôme de la perte d'odorat. "Le but est de venir en appui d'autres symptômes, la température ou le mal de tête. A la grosse différence près que la perte d'olfaction, partielle ou anosmie totale, est précoce et présente chez 60 à 80% des sujets atteints par le virus", précise le Pr Serge Antonczaak, chimiste à l'Université Côte d'Azur.
Bonne nouvelle : le projet, s'il fait ses preuves, pourrait avoir d'autres débouchés puisque la perte d'olfaction intervient dans de nombreuses autres pathologies, comme par exemple la maladie d'Alzheimer. La perte de perception des odeurs est en effet un symptômes des maladies neurodégénératives, selon l'un des chercheurs de cette étude.
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