Auxiliaire de soins, l'ambulancier assure le transport des blessés et des malades au moyen d'un véhicule adapté. Il est également chargé de tâches annexes : tenue de documents de bord, entretien du véhicule...
Un peu d'histoire...
Le métier d’ambulancier est très ancien car dès l’antiquité, au VIème siècle un corps de cavaliers romains était chargé d'évacuer les blessés lors des combats.
Au XVIème siècle, lors des guerres de religion, pendant le règne d’Henry IV, l’armée inventa les premières ambulances : les caisses d’artillerie, tirées par des chevaux et qui amenaient les munitions, servaient ensuite au transport des blessés quand elles étaient vides. Des soldats étaient donc affectés au relevage et au transport des blessés.
Deux siècles plus tard, en 1794, le chirurgien militaire Dominique Larrey crée les premières « ambulances volantes » qui accompagnaient les soldats jusque sur le champ de bataille et prenaient immédiatement en charge les blessés. Il s’agissait de voitures à chevaux transportant deux à quatre blessés et permettant leur évacuation vers l'arrière pour y être soignés.
Quelques années après, un autre chirurgien militaire, Pierre-François Percy fut à l’origine du concept d’ambulance médicalisée : il créa un corps de « chirurgie mobile ». Les caissons d’artillerie de type « wurst » furent transformés en ambulance tout en transportant rapidement jusqu’aux soldats blessés un chirurgien, des infirmiers et du matériel de secours. Larrey et Percy sont à l’origine de la création des brancardiers militaires, en 1813. Ils se servaient d’un brancard démontable dont chaque hampe était constituée par la lance d’un brancardier-soldat dont le shako (couvre-chef militaire) contenait du matériel de premier secours.
Dès 1830, le docteur Hyppolite Larrey mit en œuvre le concept de son père pour les civils blessés sur la voie publique. Puis, Paris se dota en 1881, à l’initiative du Dr Henri Nachtel et de Victor Hugo (conseillers municipaux), d’un service d’ambulances hippomobiles médicalisées par des internes de l’Hôtel Dieu pour le transport des blessés sur la voie publique et des malades contaminés par la variole, ancêtres des SMUR d’aujourd’hui. Ce sera le service des Ambulances Municipales.
En 1941, l’Assistance Publique met en œuvre le service des Ambulances des Hôpitaux de Paris. C’est également à cette époque que se créent les premières sociétés privées de transport de malades. Le métier d’ambulancier privé est né.
La loi du 10 juillet 1970 précisera les premières règles organisant cette profession.
Le 26 mars 1973, est créé le Certificat de Capacité d'Ambulancier (CCA) et le 27 mars l'Agrément des Entreprises de Transports Sanitaires. C'est cette même année que la Croix Bleue à six branches appelée « Croix de Vie » devient le signe distinctif des entreprises d'ambulances agréées.
La loi de janvier 1986 sur l’aide médicale urgente et les transports sanitaires, modifiée pour la dernière fois en 2004, ainsi que le décret de novembre 1987 sur l’agrément des transports sanitaires terrestres modifient les dispositions contenues dans la loi de 1970.
Quelle formation ?
La première trace d’un programme de formation, œuvre du Pr Duchaussoy, était destinée aux ambulancières de la Croix Rouge Française intervenant sur les champs de batailles. En effet, durant la guerre de 1870 qui oppose le Second Empire français au Royaume de Prusse (du 19 juillet 1870 au 29 janvier 1871), les hommes sont au combat. Et si « les femmes qui consentent à donner leurs soins n’ont acquis, la plupart du temps, leur expérience qu’aux dépens des malades eux-mêmes ; elles sont privées presque toutes des premières notions nécessaires à l’exercice de leur profession ; et la plupart d’entr’elles sont de plus imbues d’idées fausses qui les conduisent à une pratique nuisible. » L’idée est de remédier à ces lacunes tout en utilisant au mieux les bonnes volontés. C’est ainsi que dès 1876 est créée, par le docteur Duchaussoy, la 1ère école française de gardes-malades et d’ambulancières. Elle a pour vocation l’instruction de soins éclairés, permettant ainsi aux médecins d’avoir la certitude que leurs prescriptions seront comprises et exécutées correctement par les femmes, lors de possibles conflits armés ultérieurs.
Le premier programme des études conduisant au CCA est seulement publié le 21 mars 1989 (soit 16 ans après la création du CCA) et sera revu en mai 2001. L’arrêté du 26 janvier 2006, modifié le 18 avril 2007, remaniera en profondeur le programme de formation des études et créera le diplôme d’ambulancier. Ce diplôme deviendra un diplôme d’état par le décret du 30 août 2007 (voir annexes). Il est délivré par la DRASS à l’issue de la formation et de la réussite à l’ensemble des épreuves de validation.
Actuellement, pour accéder à la formation, le futur professionnel doit passer des épreuves de sélection dans un institut de formation d’ambulancier (liste en annexe).
Pour pouvoir se présenter à ces épreuves, la personne doit :
- s’être préinscrit dans la formation ;
- disposer d’un permis de conduire conforme à la réglementation en vigueur et en état de validité ;
- fournir l’attestation préfectorale d’aptitude à la conduite d’ambulance après examen médical effectué dans les conditions définies à l’article R. 221-10 du code de la route ;
- fournir un certificat médical de non-contre-indications à la profession d’ambulancier délivré par un médecin agréé (absence de problèmes locomoteurs, psychiques, d’un handicap incompatible avec la profession : handicap visuel, auditif, amputation d’un membre...) ;
- fournir un certificat médical de vaccinations conforme à la réglementation en vigueur fixant les conditions d’immunisation des professionnels de santé en France.
Aucun diplôme n’est exigé pour se présenter aux épreuves de sélection. Les épreuves de sélection comprennent une épreuve d’admissibilité (comportant un stage de découverte de la profession de 140 heures et une épreuve écrite) et une épreuve orale d’admission.
L’épreuve écrite, notée sur 20, comporte un sujet de français et un sujet d’arithmétique :
a) Le sujet de français du niveau du brevet des collèges doit permettre au candidat à partir d’un texte de culture générale d’une page maximum portant sur un sujet d’actualité d’ordre sanitaire et social, de dégager les idées principales du texte et de commenter les aspects essentiels du sujet traité sur la base de deux questions maximum.
Cette partie est notée sur 10 points et a pour objet d’évaluer les capacités de compréhension et d’expression écrite du candidat. Une note égale ou inférieure à 2,5 est éliminatoire.
b) Le sujet d’arithmétique porte sur les quatre opérations numériques de base et sur les conversions mathématiques. Il ne peut être fait appel pour cette épreuve à des moyens électroniques de calcul.
Cette partie a pour objet de tester les connaissances et les aptitudes numériques du candidat. Elle est notée sur 10 points. Une note égale ou inférieure à 2,5 est éliminatoire.
Sont déclarés admissibles, les candidats qui remplissent les conditions suivantes :
- avoir validé le stage de découverte (ou en être dispensé réglementairement);
- avoir obtenu une note égale ou supérieure à 10 sur 20 points à l’épreuve écrite, sans note éliminatoire à l’une des deux épreuves (ou en être dispensé réglementairement).
L’épreuve orale d’admission (sauf dispense réglementaire), notée sur 20 points, d’une durée de 20 minutes maximum est évaluée par un jury, elle est notée sur 20. Elle a pour objet :
- à partir d’un texte de culture générale du domaine sanitaire ou social d’évaluer la capacité du candidat à comprendre des consignes, à ordonner ses idées pour argumenter de façon cohérente et à s’exprimer (noté sur 12) ;
- et d’évaluer lors de l’entretien avec le jury, la motivation du candidat, son projet professionnel ainsi que ses capacités à suivre la formation (noté sur 8).
Une note inférieure à 8 sur 20 à cette épreuve est éliminatoire.
Le Programme de formation
La formation conduisant au diplôme d’état d’ambulancier comprend 630 heures au total dont 455 heures de formation théorique (13 semaines) et clinique en institut et 175 heures de stages (5 semaines). L’enseignement en institut comprend huit modules, dispensés sous forme de cours magistraux, de travaux dirigés, de travaux de groupe et de séances d’apprentissages pratiques et gestuels.
Les modules de formation
Correspondent à l’acquisition des huit compétences du diplôme :
- Module 1 : dans toute situation d’urgence, assurer les gestes adaptés à l’état du patient ; 3 semaines (105 heures).
- Module 2 : apprécier l’état clinique d’un patient ; 2 semaines (70 heures).
- Module 3 : respecter les règles d’hygiène et participer à la prévention de la transmission des infections ; 1 semaine (35 heures).
- Module 4 : utiliser les techniques préventives de manutention et les règles de sécurité pour l’installation et la mobilisation des patients ; 2 semaines (70 heures).
- Module 5 : établir une communication adaptée au patient et à son entourage ; 2 semaines (70 heures).
- Module 6 : Assurer la sécurité du transport sanitaire ; 1 semaine (35 heures).
- Module 7 : rechercher, traiter et transmettre les informations pour assurer la continuité des soins ; 1 semaine (35 heures).
- Module 8 : organiser les activités professionnelles dans le respect des règles et des valeurs de la profession ; 1 semaine (35 heures).
L’enseignement en stage est réalisé en milieu professionnel dans le secteur sanitaire, en établissement de santé et en entreprise de transport sanitaire.Ils sont réalisés dans les structures suivantes :
- Service de court ou moyen séjour : personnes âgées ou handicapées, pédiatrie ou rééducation fonctionnelle : 1 semaine.
- Services d’urgence : 1 semaine.
- SAMU ou SMUR avec passage en salle d’accouchement si possible ou stage optionnel supplémentaire en service d’urgence : 1 semaine.
- Entreprise de transport sanitaire : 2 semaines.
Tableau récapitulatif des modalités d’évaluation et de validation des modules de formation
MODULES |
ÉPREUVES |
MODALITÉS COMPLÉMENTAIRES |
NOTATION |
CONDITIONS DE VALIDATION |
---|---|---|---|---|
1 |
Epreuve pratique simulée en salle : prise en charge d’une détresse vitale |
Durée 30 minutes maximum |
Sur 20 points |
Obtenir une note égale ou supérieure à 10 sur 20 |
2 |
Epreuve pratique simulée en salle : évaluation clinique et soins adaptés |
Durée 20 minutes maximum |
Sur 20 points |
Obtenir une note égale ou supérieure à 10 sur 20 |
3 |
1 épreuve écrite anonyme et 1 épreuve pratique simulée |
Durée 1 heure maximum |
Sur 20 points |
Obtenir une note égale ou supérieure à 10 sur 20 |
4 |
Epreuve pratique simulée de prise en charge d’un patient âgé ou handicapé ou porteur d’un appareillage médical |
Durée de 20 minutes maximum |
Sur 20 points |
Obtenir une note égale ou supérieure à 10 sur 20 |
5 |
Epreuve orale à partir d’un cas vécu en stage ou d’une présentation d’un cas concret proposé par l’institut |
Durée de 20 minutes maximum |
Sur 20 points |
Obtenir une note égale ou supérieure à 10 sur 20 |
6 |
Evaluation au cours du stage en entreprise |
Utilisation de la grille d’évaluation |
Sur 20 points |
Obtenir une note égale ou supérieure à 10 sur 20 |
7 |
Epreuve orale d’une transmission d’informations à partir d’un cas concret |
Durée de 20 minutes maximum |
Sur 20 points |
Obtenir une note égale ou supérieure à 10 sur 20 |
8 |
1 épreuve écrite anonyme : série de questions (QROC et/ou QCM) et 1 épreuve orale |
Durée 1 heure maximum |
Sur 20 points |
Obtenir une note égale ou supérieure à 10 sur 20 |
Formation complémentaire d'adaptation à l'emploi (FAE) pour les ambulanciers SMUR
Après son diplôme, l’ambulancier embauché dans un SMUR (service mobile d’urgence et de réanimation) devra suivre une Formation complémentaire d’Adaptation à l’Emploi (FAE). Cette formation est assurée par les CESU (centres d’enseignement des soins d’urgences) et dure 4 semaines. Elle comprend :
- quatre modules d’enseignement : radiotéléphonie, hygiène, décontamination et désinfection, situation d’exception et participation à la prise en charge d’un patient au sein d’une équipe médicale ;
- un stage dans un service mobile d’urgence et de réanimation, d’une durée d’une semaine ;
- un stage de sécurité routière et de conduite en état d’urgence.
Rôle et missions de l’ambulancier
L'ambulancier est chargé d'assurer, sur prescription médicale, le transport des malades, des blessés et des parturientes auprès des établissements de soins, de cure et de réadaptation, ou de raccompagner les bénéficiaires de soins à leur domicile, au moyen de véhicules spécialement adaptés. Il est à la fois un conducteur expérimenté et un auxiliaire médical capable de dispenser des soins d’urgence. Les ambulanciers font partie intégrante de la chaîne des soins.
Au moment de la prise en charge, il aide le malade à s’installer dans l’ambulance et surveille son état durant le trajet. Il assure l’entretien courant du véhicule et du matériel qui lui est confié. Il doit également remplir et tenir à jour les documents administratifs et le dossier de transport.
La profession d’ambulancier est donc un métier où le contact avec le malade et la passion de la conduite sont indissociables.
Secteur d'activité
On compte environ 35.000 ambulanciers diplômés en France. Cette profession s’exerce essentiellement dans le secteur privé au sein d’une entreprise de transport sanitaire mais aussi dans le secteur public (service de transport d’un établissement hospitalier, SMUR).
- Dans le secteur privé, les ambulanciers relèvent de la convention nationale des transports routiers et activités auxiliaires et des dispositions du code du travail.
- Dans le secteur public (établissements publics hospitaliers) les conducteurs ambulanciers relèvent de la fonction publique hospitalière.
Salaires
Le salaire d’un ambulancier diplômé varie d’environ 1200 € en début de carrière, à 2000 € en fin de carrière. Il peut être différent d’une entreprise à l’autre (à ancienneté identique). Dans la fonction publique, les ambulanciers appartiennent à la catégorie C et leur corps se décompose en 3 grades :
-
Conducteur ambulancier de 2ème catégorie rémunéré à l’échelle 4 comptant 11 échelons, indice majoré 283 à 368.
Peuvent être promus en 1ère catégorie, les conducteurs ambulanciers de 2ème catégorie ayant atteint au moins le 5ème échelon de leur grade et comptant au moins 6 ans de services effectifs dans leur grade.
-
Conducteur ambulancier de 1ère catégorie rémunéré à l’échelle 5 comptant 11 échelons, indice majoré 285 à 392.
Peuvent être promus en hors catégorie, les conducteurs ambulanciers de 1ère catégorie ayant atteint au moins 2 ans d’ancienneté dans le 6ème échelon de leur grade et comptant au moins 5 ans de services effectifs dans leur grade.
- Conducteur ambulancier hors catégorie rémunéré à l’échelle 6 comptant 7 échelons, indice majoré 324 à 416 + 1 spécial indice majoré 430.
Ils perçoivent l’indemnité de sujétion spéciale, la prime de service, des indemnités horaires pour travaux supplémentaires, primes et indemnités liées aux conditions de travail.
En fonction de leur mission, leur salaire mensuel est majoré de 20 points pour les conducteurs ambulanciers affectés, à titre permanent, à la conduite des véhicules d’intervention des unités mobiles hospitalières agissant dans le cadre d’un service d’aide médicale urgente ou d’un service mobile d’urgence et de réanimation.
Un ambulancier salarié du public perçoit donc une rémunération allant d’environ 1285 € brut en début de carrière à 1886 € bruts en fin de carrière sans compter les primes spécifiques.
Évolution de carrière
Les ambulanciers peuvent devenir aide-soignant s’ils le souhaitent. Ils sont alors exemptés de passer le concours d’entrée en école d’aide-soignant. Leur formation les dispense de suivre les unités de formation 2, 4, 5 et 7. Ils devront suivre seulement les unités 1, 3, 6 et 8 ; soit 9 semaines d’enseignement théorique et 6 stages de 4 semaines chacun, soit une formation totale de 33 semaines.
Ils peuvent aussi tenter la voie de la validation des acquis et de l’expérience (VAE) en fonction de leur parcours professionnel antérieur (notamment les ambulanciers hospitaliers ayant travaillé ou travaillant en SMUR et/ou dans un service d’urgence).
- Loi n°86-11 du 6 janvier 1986 relative à l’aide médicale urgente et aux transports sanitaires modifiée le 22 juin 2000
- Décret du 30 novembre 1987 relatif à l’agrément de transport sanitaire modifié par
- Arrêté du 21 mars 1989 relatif à l’enseignement, aux épreuves et à la délivrance du CCA
- Arrêté du 26 avril 1999 relatif à la formation d'adaptation à l'emploi des conducteurs ambulanciers de service mobile d'urgence et de réanimation de la fonction publique hospitalière
- Arrêté du 17 mai 2001 portant organisation à titre transitoire de sessions aménagées de formation au certificat de capacité d'ambulancier
- Décret n° 2003-674 du 23 juillet 2003 relatif à l'organisation de la garde départementale assurant la permanence du transport sanitaire
- Arrêté du 26 janvier 2006 relatif aux conditions de formation de l’auxiliaire ambulancier et au diplôme d’ambulancier
- Arrêté du 8 février 2007 modifiant l'arrêté du 22 octobre 2005 relatif au diplôme professionnel d'aide-soignant
- Arrêté du 18 avril 2007 modifiant l’arrêté du 26 janvier 2006 modifié relatif aux conditions de formation de l’auxiliaire ambulancier et au diplôme d’ambulancier.
- Décret n° 2007-1301 du 31 août 2007 relatif aux diplômes d'aide-soignant, d'auxiliaire de puériculture et d'ambulancier.
Liens
- Consulter les offres d’emploi d’ambulancier
-
Pour réserver votre ambulance en ligne : http://www.ambudirect.fr
-
Guide pour préparer les épreuves de sélection ou réviser les cours de formation du DEA : http://www.prepaambulancier.ovh.org/
-
Chambre Nationale des Services d'Ambulances (CNSA) : http://www.cnsa-ambulances.com/
-
Site généraliste d’ambulancier : http://www.ambulance.fr/
Liste des instituts de formation ambulancier
IFA Ordre de Malte - Hôpital Xavier Arnozan - Av du Haut Pessac - 33600 PESSAC - Tél : 05 56 36 72 23
-
CESU 06
Centre Hospitalier - 14, av Valombrose - BP 319 - 06006 NICE cedex - Tél : 04 92 03 81 23
-
CESU 13
Institut de Formation des Personnels de Santé - Hôtel Dieu - 6, pl Daviel - 13224 MARSEILLE cedex 01 - Tél : 04 91 38 17 66
-
CESU
14 Centre Hospitalier Universitaire - Av de la côte de nacre - 14033 CAEN cedex - Tél : 02 31 06 31 06 / 02 31 03 88 81
-
CESU 16
Centre Hospitalier de Girac (FAE) - 16470 SAINT-MICHEL - Tel : 05 45 24 42 56
-
CESU 20
Centre de formation des ambulanciers - Centre Hospitalier Notre-Dame de la Miséricorde - 27, av de l’impératrice Eugénie - 20184 AJACCIO cedex - Tel : 04 95 29 90 38
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CESU 21
3, rue du Faubourg Raines - Centre Hospitalier Universitaire (FAE) - 21033 DIJON cedex - Tel : 03 80 29 37 70
-
CESU 25
Centre Hospitalier Jean Minjoz - 44, chemin du sanatorium - 25030 BESANCON cedex - Tel : 03 81 41 50 05
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IFA de Brest –Ordre de Malte
ZI de Brest Kergaredec - 28, av du baron Lacrosse - 29850 GOUESNOU - Tél: 02 98 41 75 74
-
CESU 31
Centre Hospitalier Universitaire Purpan - 31054 TOULOUSE cedex 1 - FAE seulement - Pas de formation DEA
-
IFA Croix-Rouge Française
71, chemin des Capelles - 31300 TOULOUSE - Tél : 05 61 31 56 18 -
-
CESU 33
CHU Bordeaux Groupe Hospitalier Pellegrin - Place Amélie Raba-Léon - 33076 BORDEAUX Cedex - Tel :05 56 79 54 28
- FAE seulement - Pas de formation DEA
-
CESU 34
Centre de Formation du Personnel Hospitalier (FAE) - 1146, avenue du père Soulas - 34295 MONTPELLIER cedex 5 - Tel : 04 67 33 89 01
-
CESU 35
Centre Hospitalier Universitaire Pontchaillou - 2, rue Henri Le Guilloux - 35033 RENNES cedex - Tel : 02 99 28 24 71
-
CESU 37
Centre Hospitalier Universitaire - 2, boulevard Tonnelé - 37044 TOURS cedex - Tél : 02 47 47 47 47
-
CESU 38
Centre Hospitalier Universitaire La Tronche - BP217 - 38043 GRENOBLE cedex - Tel : 04 76 76 53 69
-
CESU 42
Centre Hospitalier Universitaire Hôpital Bellevue - Boulevard Pasteur - 42023 SAINT-ETIENNE cedex - Tel : 04 77 42 77 42 - CESU 44 - Centre Hospitalier Universitaire - 8, quai Moncousu - 44035 NANTES cedex - Tel : 02.40.08.73.23
-
CESU 45
Centre Hospitalier Régional La Source (FAE) - 45067 ORLEANS cedex - Tel : 02 38 51 46 55
-
IFA
CHU Angers - 4 rue Larrey - 49933 Angers cedex 09 - Tel : 02 41 22 69 96 -
-
CESU 51
Centre Hospitalier Universitaire (FAE) - 45, av. Cognacq-Jay - 51092 REIMS cedex - Tel : 03 23 78 74 96
-
CESU 54
Centre Hospitalier Universitaire - 163, rue Saint-Dizier - 54035 NANCY cedex - Tel : 03.83.85.18.05
-
CESU 59
Centre Hospitalier Universitaire (FAE) - 5, av. Oscar Lambret - 59037 LILLE cedex - Tel : 03 20 44 55 23
-
CESU 63 (FAE)
30 Place Henri Dunant - 63003 CLERMONT FERRAND cedex 1 - Tel : 04 73 60 71 25 -
-
CESU 67 (FAE)
6 rue Saint Marc - 67051 STRASBOURG cedex - Tel : 03 88 11 67 68
-
IFA du Haut-Rhin
Autoport Sud-Alsace - 1, pl. du Général de Gaulle - 68390 SAUSHEIM - Tél : 03 89 61 74 74 -
-
CESU 69
Institut de Formation des Personnels de Santé - 5, avenue Esquirol - 69424 LYON cedex 03 - Tel : 04 72 11 67 45
-
IFA Croix-Rouge Française
49-51, avenue d’Inkermann - 69006 LYON - Tél : 04 72 74 62 00 -
-
CESU 75
Groupe Hospitalier Necker Enfants Malades - 75743 PARIS cedex 15 - Tel : 01 44 49 23 46 - FAE seulement Pas de formation DEA
-
IFA Croix-Rouge Française
98 Rue Didot - 75694 PARIS CEDEX 14 - Tél : 01 44 43 58 00
-
IFA Ordre de Malte
42 rue des Volontaires - 75015 PARIS - Tel : 01 45 20 96 64 -
-
CESU 76 A
Centre Hospitalier Charles Nicolle - 1, rue Germont - 76031 ROUEN cedex - Tel : 02 32 88 89 77
Cette formation est assurée par L'Institut de formation ambulancier, info complémentaire sur le site.
-
CESU 78 (FAE)
Centre Hospitalier Général André Mignot - 78157 LE CHESNAY cedex - Institut de formation des personnels de transport sanitaire - 43, rue du Général de Gaulle - 78490 LE TREMBLAY SUR MAULDRE - Tél : 01 34 94 27 27
-
CESU 80
Centre Hospitalier Universitaire Nord - Place Victor Pauchet - 80054 AMIENS cedex - Tel : 03 22 66 80 00
-
IFA Ordre de Malte
345, Avenue Clovis Hugues - 83200 TOULON - Tél : 04-94-09-27-72
-
IFSI 84
Centre de formation d'ambulanciers - 305 rue Raoul Follereau - 84902 AVIGNON cedex 9 - Tel : 04 90 13 17 30
-
IFA La Roche sur Yon
33, rue Koenig - 85016 La Roche sur Yon - Tel : 02 51 36 65 56
-
CESU 86 (FAE)
Centre Hospitalier Universitaire - 86021 POITIERS cedex - Tel : 05 49 44 41 00
-
CESU 87
Centre Hospitalier Universitaire Dupuytren - Le Cluzeau - 87042 LIMOGES cedex - Tel : 05 55 05 62 80
-
3, av Jean-Jaures - 93331 Neuilly sur Marne Cedex - Tél : 01 49 44 36 38
-
CESU 93
Centre Hospitalier Avicenne - 93009 BOBIGNY cedex - Tel : 01 48 96 44 66 - FAE seulement - Pas de formation DEA
-
CESU 94
Centre Hospitalier Henri Mondor - 94010 CRETEIL cedex - Tel : 01 45 17 95 29 - FAE seulement Pas de formation DEA
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CESU 971
IFA CHU Pointe à Pitre / Abymes - 97159 POINTE A PITRE cedex - Tél : 0590 28 92 50 - Fax : 0590 28 24 27
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CESU 972
Centre Hospitalier Universitaire - 97261 FORT DE FRANCE cedex - IFA Croix-Rouge Française - 46 Rue DU CHEMIN - 97200 FORT DE FRANCE - Tél : 05 96 60 47 10
-
CESU 973
Centre Hospitalier Général de la Madeleine - 97306 CAYENNE cedex - CESU 974 - Centre Hospitalier Départemental Bellepierre - 97405 SAINT-DENIS cedex - Tel : 02 62 90 51 58
Philippe DOMINGUES, infirmier. Fiche métier revue le 12 février 2013 par James IACINO, infirmier, et Laurent FACON Directeur de l’Institut de Formation d’Ambulancier Croix-Rouge Française (Paris)
HOSPITALISATION A DOMICILE
Un flash sécurité patient sur les évènements indésirables associés aux soins en HAD
THÉRAPIES COMPLÉMENTAIRES
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RECRUTEMENT
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RISQUES PROFESSIONNELS
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