La réticence des chirurgiens français est difficile à vaincre. Lorsque sa femme est rentrée d'un rendez-vous à l'hôpital et a mentionné pour la première fois la greffe issue de donneur vivant, Christian Baudelot, 66 ans, n'a pas eu à réfléchir «une seconde». «J'ai immédiatement proposé un de mes reins, car c'était une occasion inespérée d'éviter à ma femme - et donc à moi-même - une fin sinistre», raconte-t-il, huit ans après. Atteinte d'une maladie génétique qui avait lentement détruit ses reins, Olga venait d'atteindre le stade terminal. En attendant que son tour arrive de recevoir un organe prélevé sur un donneur mort, son existence serait dorénavant suspendue à d'éprouvantes séances de dialyse, au rythme de trois demi-journées par semaines. La suite est à lire sur lefigaro.fr
EN BREF
Le don de rein à un proche trop peu répandu en France
Publié le 18/06/2013
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Source : infirmiers.com
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