Christèle Bourdeau, journaliste à la rédaction Ouest-France d'Angers, a rencontré les aides-soignantes qui travaillent dans les résidences de Pouancé. En souffrance, elles ont toutes les raisons de pleurer. Mais lors de cette rencontre, c’est elle qui a craqué. Elles ne savent plus quoi inventer pour gagner du temps et faire le meilleur travail possible. Ou le moins mauvais. Grappiller quelques minutes pour simplement dire « bonjour » et « au revoir » à ces hommes et ces femmes qui, pour certains, n’ont plus qu’elles. Elles préféreraient être décérébrées. Ne plus penser, pour ne plus souffrir
.
EN BREF
Le blues des aides soignantes… et les larmes de la journaliste...
Publié le 15/01/2018
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Source : infirmiers.com
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