Selon une étude, plus de 3 millions de décès prématurés sont liés chaque année à la pollution atmosphérique extérieure. C'est plus que le nombre de décès liés au sida et au paludisme combinés. Ce chiffre inquiétant pourrait doubler d'ici à 2050, selon une étude publiée mercredi dans la revue scientifique britannique Nature. Si la qualité de l'air est maintenue à son niveau actuel, ce sont 7 personnes sur 10 000 qui pourraient mourir de manière prématurée en 2050, soit 6,6 millions de personnes au total, si on intègre les projections en matière de croissance démographique.
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