Quelques millions de fumeurs et anciens fumeurs, considérés sains après avoir passé avec succès un test respiratoire, pourraient en réalité souffrir de troubles pulmonaires invisibles. La mesure du souffle ne suffirait donc pas pour détecter les prémices de maladies graves, comme la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO). Selon une équipe de recherche américaine, la moitié des fumeurs déclarés normaux par ce test souffrirait en réalité de certaines formes de maladies pulmonaires chroniques.
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