Chaque année, environ 50 000 adultes en France décèdent d’arrêt cardiaque, mortel en quelques minutes sans prise en charge. Aujourd’hui, moins de 5% des victimes d’arrêt cardiaque réfractaire survivent, d’où l’importance d’une prise en charge précoce et adaptée. Or, une étude menée notamment par l’AP-HP, l’Inserm, Paris Descartes et la BSPP montre qu’une prise en charge immédiate avec circulation extra-corporelle augmente significativement les chances de survie et diminue les séquelles des personnes ayant fait un arrêt cardiaque "réfractaire". L'idée novatrice est donc d'essayer de sauver, sur le lieu même de leur accident, les victimes d'arrêts cardiaques réfractaires, c'est-à-dire celles dont le cœur ne repart pas après un massage cardiaque mais dont le cerveau fonctionne encore.
EN BREF
Arrêt cardiaque réfractaire : une nouvelle stratégie efficace
Publié le 08/06/2017
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Source : infirmiers.com
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