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TFE - La nuit : quand l’anxiété pointe le bout de son nez

Publié le 24/02/2015
maman nouveau-né

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En mai 2014, Aude Hounicheren, alors étudiante en soins infirmiers à l'Institut de Formation en Soins Infirmiers des Diaconesses de Reuilly (promotion 2011-2014) a soutenu avec succès son travail de fin d'études sur la thématique suivante : « La nuit : quand l’anxiété pointe le bout de son nez ». Elle souhaite aujourd’hui le partager avec la communauté d’Infirmiers.com et nous l'en remercions.

Aude a travaillé, dans son TFE, sur la prise en soin la nuit en suites de couches.

Aude débute ainsi son travail de recherche : « Depuis l’enfance, je suis intéressée par le domaine  de la puériculture et de la petite enfance et plus particulièrement par les services comme la maternité ou la néonatalogie. Je me suis dirigée vers la formation en soins infirmiers afin de travailler dans ce type de services ou en pédiatrie et dans l’objectif d’effectuer la spécialisation  d’infirmière puéricultrice juste après la formation initiale ou au cours de ma carrière, plus tard.  Patiente, aimant la relation avec les nouveau-nés, les enfants et les familles, j’ai à coeur tout particulièrement de mettre en exergue mes qualités de future soignante dans les soins relationnels  pour le bien-être de la personne.

Mon stage du semestre 4 a été scindé en deux temps, la deuxième partie s’effectuant en maternité,  de nuit. De plus, lors des vacances d’été, je travaille pendant un mois en tant qu’auxiliaire de puériculture, de nuit, dans une maternité de niveau III de mon département. Cette expérience,  agréable et enrichissante, a donné lieu à de nombreuses interrogations et recherches de ma part.

C’est pourquoi, j’ai choisi de présenter trois situations d’appel se déroulant en maternité, qui m’ont questionnée et ont été le fruit de ce travail de fin d’études.

J’ai choisi de présenter plusieurs situations et non une seule du fait de la récurrence de l’anxiété que j’ai pu observer en suites de couches, la nuit, auprès des mères. En effet, cette inquiétude était présente quelles que soient les situations rencontrées : que les mères allaitent ou donnent le biberon, qu’elles soient primipares ou non ou encore qu’elles soient en chambre individuelle ou double. Les caractéristiques des patientes étaient différentes mais l’anxiété toujours perceptible, à des degrés divers, exprimée différemment selon chacune. Cette anxiété m’a interpellée et a suscité l’intérêt de mon travail de recherche. De ces situations a émergé une  question de départ :  En quoi la prise en soin la nuit en suites de couches est-elle principalement axée sur la prise en charge de l’anxiété chez les femmes accouchées ?

Les enquêtes exploratoires, très enrichissantes, ont apporté un appui vécu et de l’authenticité à ce mémoire et m’ont permis de renforcer mes motivations pour travailler dans le secteur de la maternité et si possible de nuit. »

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Aurélie TRENTESSE  Journaliste Infirmiers.com aurelie.trentesse@infirmiers.com  @ATrentesse


Source : infirmiers.com